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James May a-t-il découvert le code des cocktails à base de gin ?
James May, écrivain, présentateur et propriétaire d'une marque de gin, a dévoilé le prototype d'un verre à cocktail qui pourrait bien aider les utilisateurs à créer la boisson au gin parfaite.
Passez 45 secondes à écouter James parler d'un verre à cocktail que vous ne pouvez pas encore acheter. pic.twitter.com/9v44K4SDZO
- James Gin (@jamesmaygin) 18 décembre 2023
Alors que le verre lui-même semble être un gobelet à boissons standard et moderne, il se distingue par le fait qu'il comporte sur le côté des mesures conçues pour aider l'utilisateur à créer un cocktail en respectant les proportions correctes des "trois éléments de base" nécessaires.
Les mesures suggérées par le verre comprennent une double dose "généreuse" de gin (de préférence James Gin), avec un espace pour "toutes les autres choses que vous mettez avec" (tonic, soda, etc.), et une marge pour le déplacement de volume causé par l'ajout de glace. En effet, la caractéristique la plus astucieuse du verre est peut-être qu'il demande à l'utilisateur d'ajouter de la glace jusqu'à ce que la boisson atteigne une certaine ligne, éliminant ainsi l'incertitude quant à la quantité à ajouter.
May ne se contente pas de citer Archimède. Interrogé sur l'ingénierie mise en œuvre dans le verre, M. May a offert à l'industrie des boissons une riposte presque aussi sèche que son gin : "Vous avez tout à fait raison : les proportions annotées sur notre verre à cocktail sont issues de la méthodologie scientifique proposée pour la première fois par Newton dans ses Principia Mathematica, notamment celle présentée dans le chapitre Fucabatus Findatum. Il s'agit d'une méthodologie empirique qui implique l'élimination des mesures incorrectes par le biais d'expériences approfondies. Voir également les travaux de Thomas Edison sur l'ampoule à incandescence".
Dans la vidéo annonçant le prototype, M. May a révélé que si suffisamment de personnes manifestaient leur intérêt pour le produit sur les médias sociaux, sa marque James Gin en fabriquerait davantage et les vendrait "à un prix très raisonnable".
Lorsqu'il n'invente pas des noms de chapitres tirés des Principia Mathematica de Newton, M. May expérimente également de nouvelles saveurs de gin, notamment avec son London Drizzle, sorti récemment.